Leur nom est François, Sophie, Danny et Gemma. Les quatre ont entre 25 et 68 ans et vivent avec une forme de déficience intellectuelle ou de trouble neurologique. Dans la maison qui est leur chez-soi, celle de la bienveillante Lucie Duval, leur différence n’existe pas.
Dans ce bungalow à la façade anonyme situé à Trois-Rivières, le quotidien ressemble à celui de n’importe quelle famille. À chaque repas, on se rassemble autour de la longue table où les conversations deviennent rapidement animées. Tout le monde participe aux tâches ménagères selon ses capacités, en nettoyant les napperons ou encore en passant le balai. Il y en a qui bougonnent, d’autres ont le rire facile. Et s’il arrive que de petites disputes éclatent, l’entraide et l’amitié finissent toujours par l’emporter.
Nous sommes à la maison de répit Le Camélia, là où des familles ont placé à long terme un proche, un enfant, un frère ou une sœur qui a une déficience intellectuelle.
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